Je dis "on part", "on part", mais avant, y'a quand même un ptit souci à régler !!
... je veux parler du fer de Master Pony, qu'on avait, je le rappelle au lecteur assidu mais néanmoins oublieux, remis en 2/2 sur le haut du pas de l'Aiguille la veille au soir.. Mais c'était une réparation 'de fortune'
Heureusement, ce matin là, nous sommes rejoints par 2 nouveaux compagnons ! à savoir David et Pierre Henry qui est .... Maréchal ferrant ! God bless him !








j'étais justement en train d'écrire un texto au sieur Dinou, tout en ayant dans la main gauche mon téléphone, et dans la main droite une cigarette, les renes de Poney, la longe du cheval de bât, et... mon appareil photo. Je sais pas pourquoi, ça a fait rire les collègues, qui m'ont demandé de documenter ça... En bonne journaliste d'investigation, je m'y suis attelée...











Il met à notre disposition le jardin de son pavillon pour nos tentes, et un petit terrain à 800m de là pour nos chevaux !
On en profite même pour doucher les bestiaux : ici la belle Rillette de Tifany

On peut donc passer aux choses sérieuses
La barbeuc passant
Le génépi se vidant
Quand tout à coup, on reçoit un coup de fil :
"Venez vite, les chevaux ne sont plus dans les paddocks"
Les divers breuvages ayant produit un effet anxiolytique certain, on apprend la nouvelle avec relativement de calme, voire d'humour, et nous acheminons quand même (par acquis de conscience) vers la pature, mais en étant absolument persuadé qu'on nous joue là un bon tour....
Mais non !
Il y a bien deux paires d'yeux translucides derrière le portail du voisin ! C'est Saph et Luska, le cheval d'Alain. Comment, pourquoi ils sont arrivés là, on ne le saura pas
Toujours est-il qu'on a retrouvé tous les chevaux, qui n'avaient pas été bien loin de toute façon. On ne sait pas non plus ce qu'il s'est passé, mais comme la plupart des paddocks étaient solidaires, il est imaginable qu'un des chevaux ait fait tomber la cloture, entrainant tout le fil avec lui, et créant la panique générale..
Bref, comme on savait pas trop ce qu'il en était et qu'on était pas rassuré pour la suite de la nuit, une randonneuse dévouée proposa de déplacer sa tente et d'aller la planter à coté des chevaux pour faire le "guet" en cas de pépin.. C'est donc ainsi qu'avec Margot, nous avons passer une nuit à surveiller (auditivement) le moindre fouiallement de queue, la moindre respiration anormale, le moindre bruit de sabot pas catholique
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